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JJ Rawlings s’en va, JJ Rawlings vivra, gémissons mais espérons !

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 « En Afrique, quand un vieillard meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.», Amadou Hampâté Bâ, UNESCO, 1960. Q uand le militaire se fait acteur politique, va à l’école du socialisme et devient homme d'État, quand il oublie ce qu'il fut pour épouser la Nation, les lendemains chantent.  C’est ce bel hommage au temps et à son souvenir que nous laisse Jerry John Rawlings, révolutionnaire qui aura apporter la démocratie au Ghana. ...De sources concordantes, il a fait irruption en tête d'une mutinerie le 15 mai 1979 sur le théâtre politique ghanéen. Puis est resté la figure de proue de la politique de ce pays jusqu’à son décès le 12 novembre dernier. On peut le dire sans craindre d’être repris : Jerry John Rawlings est resté l'un des rares d'entre ceux de sa génération a marqué les enflures du temps et s'est au mieux cramponné aux bienheureux basques de l'histoire. Ce n'est pas que l'heure du destin et de son coup de pouc...

« Soigner les certitudes » de Reckya Madougou, un must read pour la jeunesse africaine

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Cotonou et Lomé ont vibré ces deux derniers weekends sur un même son de cloche, que dis-je un festival du Livre, un seul flambant neuf (sourire)!  Aux vaillantes populations que nous sommes sur le sol africain, le monde rappelle inlassablement une réalité qui résonne comme un vieux refrain. Nous (Afrique) sommes pointés du doigt comme un continent végétant dans la pauvreté malgré notre potentiel humain et naturel. Nous sommes assimilés à un homme assis dans la posture de mendiant sur une mine d’or et de surcroît le ventre affamé. Mais alors ! Jusqu’à quand laisserons-nous ce paradoxe nous coller à la peau ?  A ce sujet, pour tout vous dire, j’ai toujours nourri de l’espoir ; j’en suis débordant. C’est un espoir qui se nourrit davantage aujourd’hui à la source du brillant ouvrage « soigner les certitudes » de Reckya Madougou. Un ouvrage que j’inscrirai volontiers dans le registre des must read (livres à lire) pour la jeunesse africaine. Nous, c'est-à dire la jeunesse, y trouver...

L’orphelin de l’informel, le Milliardaire de demain

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Kiosque cafette à Atakpamé A chaque lever du jour quand je n’ai de quoi apaiser le petit creux d’estomac à la maison, je dois mon salut à Diallo.  Une proximité qui fait toute la différence Connue de tout le quartier, la cafète « Chez Diallo » est la destination prisée du voisinage pour s’offrir le bon café chaud du petit déjeuner ou souvent accompagné d’un plat succulent au moindre CFA. 150f la tasse de café, 500f la portion adulte de spaghetti, le couscous et la ratatouille au petit pois so nt à 1000f. On les reconnait facilement par la décoration bleuâtre abritée des locaux de fortune en bois ou en contreplaqué ou voire même en feuille de tôle. Une condition peu enviable qui amène à les considérer comme des « petits commerces » ou des « petits métiers ». Et pourtant ce commerce, bien que petit, reste important dans la vie des togolais aux revenus moyens. Il assure la restauration de ces togolais qui n’ont pas les moyens d’acheter les services de grands restaurants. Pour ce faire...

Il faut sauver le Lac Tchad

Il faut sauver le Lac Tchad. Ce grand bassin  naturel qui faisait vivre près de 40 millions de personnes sur 4 pays notamment: le Nigeria, le Tchad, le Niger et le Cameroun, est entrain de disparaître totalement.  C'est grave, très grave je veux dire! Actuellement, les indicateurs sont au rouge. On parle de crise alimentaire qui touche plus de 7 millions de personnes. Plus de 500 mille enfants souffrent de malnutrition. Plus de 20 mille personnes sont décédées. Les européens nous aident, comme l'action de Berlin en début de mois. Il faut le reconnaître et l'apprécier à sa juste valeur. Mais ils peuvent faire plus. Oui il peuvent faire plus. Cependant, nous devons nous armer davantage et faire preuve de solidarité.Afin que les ressources communes des Etats d'Afrique soient conjuguées pour une actions réussie.  Il faut se bouger les fesses.!!! #Atens #Denyigban #Togo #Tchad #Lactchad #SOSLACTCHAD Lisez l'articule de l'agence  ecofin.com sur la m...

Alternance au Toastmasters

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Voici 11 mois qui se sont écoulés. En prenant la direction du Club Performance, je me disais : voilà une opportunité de m’exercer et de contribuer à construire un bel édifice. Je voudrais bien déballer mon rapport d’activité. Mais le le bon endroit ni le bon canal. Le   moment sera approprié. Mais je voudrais féliciter les membres de mon équipe. Toutes personnes de qualités, des personnes adorables. C’est le moment pour moi, ici, de leur témoigner toute mon admiration et ma gratitude pour les bonnes relations que nous avons eues et les résultats obtenus. Chers amis, je vous invite à faire la découverte du #Toastmaster. Le club Performance se réunit tous les 1 er s et 3èmes jeudis du mois en fin de journée, de 18h30 à 20h30. Cher Julien, je te félicite pour ta brillante élection à la tête de notre club. Ton équipe et toi, je n’en doute point, allez réaliser des résultats hors recors. Bien à tous ! #Atens. #Denyigban

Le médiateur doit être ferme ou se récuser, le Togo doit vivre !

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Les Togolais fondent encore leur espoir sur la capacité du facilitateur à sortir les politiciens et le peuple dans son ensemble de l’ornière dans laquelle elle s’est retrouvée depuis août 2017. La médiation est prévue pour durer dix jours. Jours calendaires ? Perlés ? En tout cas, à n’en point douter, les dix jours sont étalés sur plusieurs mois. Et après deux mois, on n’en a épuisé que trois. Nous assistons impuissants, tels dans un film western dont les acteurs sont Pouvoir, groupe des 14 opposants et le Gouvernement. Dans ce genre de film, on ne sait qui et à quel moment la balle fatale va être tirée. Apparemment, le Sheriff, garant de l’équilibre et de la justesse semble être dépassé par les événements. Et la balle peut partir de n’importe où et à n’importe quel moment. Car nul n’a le monopole de la violence ici au Togo. Le Ghana héberge Atchadam et jusqu’à quand ? Celui qui a réussi à faire avorter la conférence internationale Israël-Afrique, parce...

L’urne : quille ou boite à pandore

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Urne, Illustration pixabay.com  Comme une soupe au lait, voilà que le héros de plusieurs politologues, JAMMEH Yahya, revient à la charge. Va-t-il se tacher de sang, on ne peut se prononcer. Mais nous connaissons tous l’homme, nous connaissons le système. La démocratie telle que voulue par les pseudo-intellectuels africains et d’ailleurs n’est rien d’autre que d’offrir du spectacle au peuple. Peuple qui ne demande rien de plus grand que la paix, l’éducation, la santé, les moyens de communication, un cadre de libre échange… Les urnes et l’alternance au pouvoir ne sont pas les seuls résultats de la démocratie. Mais il faut reconnaître que l’urne est un excellent outil pour faire de la démocratie. Loin de nous l’idée de jeter l’opprobre sur l’opposition, mais ce que nous observons nous laisse perplexe. Plusieurs acteurs politiques, les doigts dans le nez espèrent le miracle et peignent girafe dans ce confortable titre d’Opposants. Est-ce pour l...